À partir des styles interpersonnels de chaque individu on peut évaluer la qualité de la relation qu'ils entretiennent et le potentiel positif et négatif qu'elle offre
Au
delà des faits souvent irréparables et des dires qui laissent des
traces, il y a un facteur déterminant qui influence la suite des évènements,
le facteur psychologique.
Nous utilisons un modèle élaboré par le Dr Richard Hould pour
l'adresser, un modèle qui porte sur
le style interpersonnel
des gens.
Souvent on n'y porte pas assez attention.
Si on prend le temps de s'y arrêter on peut avoir une bonne idée, pour chacune des personnes
concernées, des attitudes et agissements qui ont lieu et
qui risquent soit d'aider ou de nuire à la relation qu'ils ont. Il y
a des cas où une relation risque d'être
impossible ou malsaine entre deux ou plusieurs individus. On peut le
voir à partir des styles interpersonnels de chacun.
Parmi les facteurs psychologiques, on peut observer les
écarts dans la perception de l'actuel, par rapport à ce qu'on
voudrait idéalement que les choses soient.
Plus les écarts sont grands, plus la personne est sous
pression pour s'ajuster à la situation. De petits écarts
indique que la personne n'envisage pas changer grand chose dans sa
façon de se conduire. Un autre facteur que l'on mesure est la
rigidité ou la flexibilité de la personne dans ses agissements.
On peut ainsi reconnaître une personne rigide qui ne ressent
pas de pression à s'ajuster à la situation ou encore, une personne
flexible qui va s'ajuster à la situation sans ressentir de pression.
En comparant la perception que l'un a de l'autre, on peut
voir s'ils agissent en connaissance de cause ou sous de fausses prémisses
qu'ils ont à l'endroit de l'autre. Dans l'évaluation des possibilités de trouver une
solution à l'amiable suite à un différend, il est opportun de
voir où se situent les parties
pour estimer le réalisme de ce qu'elles sont prêtes à convenir dans
une entente et les conditions nécessaires pour y parvenir.
Quand
les gens veulent se sortir d'une situation difficile, ils sont prêts
à collaborer. Il importe de leur faire voir l'importance de tenir
compte des facteurs psychologiques dans leur réflexion. Avec les moyens
offerts à partir ce site, on peut facilement dresser un portrait du
style interpersonnel d'un ou de
plusieurs individus. Il peut s'agir d'un portrait
individuel, de celui de deux personnes ou de celui d'une équipe de
travail. Avec ce portrait en main, on peut observer la dynamique
interpersonnelle des gens concernés. Ça donne alors matière à réflexion
pour décider des orientations à prendre
dans le contexte.
L'exercice
à réaliser n'est pas menaçant et se fait sous le sceau de la
discrétion.
Les concepts utilisés sont concrets et simples à comprendre. Le but
n'est pas d'étiqueter les gens mais plutôt de voir la dynamique qui
les anime. Habituellement les gens se reconnaissent dans les résultats
et leur profil vous apprend à les découvrir.
À partir des constats et des pistes qu'ils permettent de trouver, il
vous reste ensuite à orienter vos efforts vers des solutions
réalistes. Par la suite, les facteurs de risque diminueront pour permettre à tous d'y trouver
leur zone de confort.
Suivez ce lien pour un complément d'information sur les styles
interpersonnels.
Voir plus >>>
ou poursuivez à l'étape suivante pour répondre au TERCI.
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-
Au delà des faits souvent irréparables et des dires qui laissent des traces, il y a un facteur déterminant qui influence la suite des évènements, le facteur psychologique. Nous utilisons un modèle élaboré par le Dr Richard Hould pour l'adresser, un modèle qui porte sur le style interpersonnel des gens. Souvent on n'y porte pas assez attention. Si on prend le temps de s'y arrêter on peut avoir une bonne idée, pour chacune des personnes concernées, des attitudes et agissements qui ont lieu et qui risquent soit d'aider ou de nuire à la relation qu'ils ont. Il y a des cas où une relation risque d'être impossible ou malsaine entre deux ou plusieurs individus. On peut le voir à partir des styles interpersonnels de chacun.
Parmi les facteurs psychologiques, on peut observer les écarts dans la perception de l'actuel, par rapport à ce qu'on voudrait idéalement que les choses soient.
Plus les écarts sont grands, plus la personne est sous pression pour s'ajuster à la situation. De petits écarts indique que la personne n'envisage pas changer grand chose dans sa façon de se conduire. Un autre facteur que l'on mesure est la rigidité ou la flexibilité de la personne dans ses agissements. On peut ainsi reconnaître une personne rigide qui ne ressent pas de pression à s'ajuster à la situation ou encore, une personne flexible qui va s'ajuster à la situation sans ressentir de pression.
En comparant la perception que l'un a de l'autre, on peut voir s'ils agissent en connaissance de cause ou sous de fausses prémisses qu'ils ont à l'endroit de l'autre. Dans l'évaluation des possibilités de trouver une solution à l'amiable suite à un différend, il est opportun de voir où se situent les parties pour estimer le réalisme de ce qu'elles sont prêtes à convenir dans une entente et les conditions nécessaires pour y parvenir.
Quand les gens veulent se sortir d'une situation difficile, ils sont prêts à collaborer. Il importe de leur faire voir l'importance de tenir compte des facteurs psychologiques dans leur réflexion. Avec les moyens offerts à partir ce site, on peut facilement dresser un portrait du style interpersonnel d'un ou de plusieurs individus. Il peut s'agir d'un portrait individuel, de celui de deux personnes ou de celui d'une équipe de travail. Avec ce portrait en main, on peut observer la dynamique interpersonnelle des gens concernés. Ça donne alors matière à réflexion pour décider des orientations à prendre dans le contexte.
L'exercice à réaliser n'est pas menaçant et se fait sous le sceau de la discrétion. Les concepts utilisés sont concrets et simples à comprendre. Le but n'est pas d'étiqueter les gens mais plutôt de voir la dynamique qui les anime. Habituellement les gens se reconnaissent dans les résultats et leur profil vous apprend à les découvrir.
À partir des constats et des pistes qu'ils permettent de trouver, il vous reste ensuite à orienter vos efforts vers des solutions réalistes. Par la suite, les facteurs de risque diminueront pour permettre à tous d'y trouver leur zone de confort.
Suivez ce lien pour un complément d'information sur les styles
interpersonnels.
Voir plus >>>
ou poursuivez à l'étape suivante pour répondre au TERCI.
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